Point Marché
28/09/2020
Malgré la crise sanitaire, le marché de l’immobilier de prestige se montre toujours très actif aussi bien sur la transaction que sur la location.
Si la période de confinement a mis en pause le marché de l’immobilier, il a également transformé les attentes des Français. De la verdure, de l’espace, un extérieur... les habitants des grandes villes ont des envies de campagne. C’est pourquoi ils ont été nombreux dès la sortie du confinement à se lancer à la recherche d’un bien en régions.
A Paris, c’est un marché à deux vitesses qui s’est profilé, selon le type de bien à la vente. « Depuis la mi-mai, nous avons fait une vingtaine de ventes flash (moins de 72h) sur des biens de grande qualité, avec vue sur jardin ou monument, une belle adresse, un extérieur, etc., explique Thibault de Saint-Vincent, président de BARNES. En revanche, les biens de grande surface, au-delà de 300 m2, sans aucun plus, sur cour ou sombres, n’obtiennent aucun appel. Il faut alors opérer une décote de 30% pour attirer l’acquéreur. Par exemple, dans un même immeuble, un très bel appartement de 140 m2, avec une belle vue pourrait se vendre à 13 500€/m2, alors qu’un autre de 280 m2, au deuxième étage sur cour, ne partira qu’à 10 000€/m2 ».
© Propriétés Le Figaro - publié sur Barnes Paris le 28/09/2020
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